La rivière, qui coule, si douce et paisible,
Le long du rivage, claquant contre la pierre
Le soleil se reflétant dans cette eau lisible,
Par sa clarté qui créée une belle lumière.
Le vent doux, soufflant dans mes cheveux en bataille,
Les parfums de la nature se dispersent,
Et Cette dernière brise qui me traverse,
Remontant jusqu'au sommet de mon entaille.
Et ma main contre le cœur, empli de douleur,
Se dirige vers la rivière froide et claire,
Afin d'apaiser la souffrance du malheur,
Causé par un ennemi très spectaculaire.
Je ne sens plus rien, et la douleur ne pars pas,
Comme si dans l'eau, je ne faisais que couler,
Mais je tombe vers les profondeurs pas à pas,
Et je vois que tout mon monde s'est écroulé ...
Le long du rivage, claquant contre la pierre
Le soleil se reflétant dans cette eau lisible,
Par sa clarté qui créée une belle lumière.
Le vent doux, soufflant dans mes cheveux en bataille,
Les parfums de la nature se dispersent,
Et Cette dernière brise qui me traverse,
Remontant jusqu'au sommet de mon entaille.
Et ma main contre le cœur, empli de douleur,
Se dirige vers la rivière froide et claire,
Afin d'apaiser la souffrance du malheur,
Causé par un ennemi très spectaculaire.
Je ne sens plus rien, et la douleur ne pars pas,
Comme si dans l'eau, je ne faisais que couler,
Mais je tombe vers les profondeurs pas à pas,
Et je vois que tout mon monde s'est écroulé ...