Routine hivernale
Quatre heure sonne mon réveille,
Le froid me tire du sommeil,
J'étais bien au pays des merveilles,
Je bois mon café pressés,
Je serais mieux dans mon lit à me prélasser,
C'est le destin que la vie m'a tracé,
Mettre mes chaussures de sécurité et un blouson,
Dehors le vent s'engouffre entre les maisons,
Pas un chat à l'horizon,
La lune se reflète sur les toits,
Je relève la température, moins trois,
On a connu pire ma fois,
C'est la routine hivernale,
la comptine d'un travailleur banal,
Je roule dans le brouillard,
Devant moi les arbres sont des fantômes blafards,
Offrant leurs silhouettes à des conducteurs hagards,
Je m'enfonce dans la pollution,
Les lumières industrieuses d'une civilisation,
éclairent des blocs sans imagination,
Les usines crachent leurs vapeurs,
Qui glacent tous nos malheurs,
Voilà j'arrive à l'heure,
Faire chauffer mon camion,
Le charger dans la précipitation,
Dans une heure je serai dans la circulation,
C'est la routine hivernale,
la comptine d'un travailleur banal,
Sur les voitures un givre parasite,
C'est le moment ou la ville s'agite,
Certains vont vite d'autre hésitent,
Apparaît un pâle soleil d'hiver,
Pas de neige ma journée ne sera pas une galère,
J'emprunterai alors les chemins de travers,
Vers cette nature endormie, figée,
Dans cette campagne que le gel a piégé,
Sur ces montagnes qui scintillent enneigées,
Je navigue dans une carte postale,
C'est un blanc tableau, une féerie picturale,
Où seul mon véhicule fait sale
C'est la routine hivernale,
La comptine d'un livreur matinal
Quatre heure sonne mon réveille,
Le froid me tire du sommeil,
J'étais bien au pays des merveilles,
Je bois mon café pressés,
Je serais mieux dans mon lit à me prélasser,
C'est le destin que la vie m'a tracé,
Mettre mes chaussures de sécurité et un blouson,
Dehors le vent s'engouffre entre les maisons,
Pas un chat à l'horizon,
La lune se reflète sur les toits,
Je relève la température, moins trois,
On a connu pire ma fois,
C'est la routine hivernale,
la comptine d'un travailleur banal,
Je roule dans le brouillard,
Devant moi les arbres sont des fantômes blafards,
Offrant leurs silhouettes à des conducteurs hagards,
Je m'enfonce dans la pollution,
Les lumières industrieuses d'une civilisation,
éclairent des blocs sans imagination,
Les usines crachent leurs vapeurs,
Qui glacent tous nos malheurs,
Voilà j'arrive à l'heure,
Faire chauffer mon camion,
Le charger dans la précipitation,
Dans une heure je serai dans la circulation,
C'est la routine hivernale,
la comptine d'un travailleur banal,
Sur les voitures un givre parasite,
C'est le moment ou la ville s'agite,
Certains vont vite d'autre hésitent,
Apparaît un pâle soleil d'hiver,
Pas de neige ma journée ne sera pas une galère,
J'emprunterai alors les chemins de travers,
Vers cette nature endormie, figée,
Dans cette campagne que le gel a piégé,
Sur ces montagnes qui scintillent enneigées,
Je navigue dans une carte postale,
C'est un blanc tableau, une féerie picturale,
Où seul mon véhicule fait sale
C'est la routine hivernale,
La comptine d'un livreur matinal
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